Lundi 22 janvier 2007 à 19:34

ZAP

...

Dimanche 21 janvier 2007 à 16:34

C'est au bout du regard
Là ou les bateaux quittent la mer
Là, où l'horizon est tellement plus clair
Sous la belle étoile celle qui te dit que la vie ici
ne sera jamais rien que ton amie

C'est au fond de tes yeux
là, où le monde effleure tes rêves
Là, où le bonheur n'est plus un mystère

C'est là que je t'emmènerai sur la route
et si le soleil le savait
mais j'en doute, il viendrait
Là, où je t'emmènerai
Aucun doute, il s'inviterait
pour nous éclairer

Nous longerons la mer
nos vie couleront sans un hiver
comme un matin d'été, un courant d'air
Et tout au long de ta vie
que s'écarte les nuages
je serais là à chaque fois que tu auras besoin de moi
Regarde là-bas

C'est là que je t'emmènerai sur la route
et si le soleil le savait
mais j'en doute, il viendrait
Là, où je t'emmènerai
Aucun doute, il s'inviterait
pour nous réchauffer
pour nous accompagner

Là où je t'emmènerai
Aucune peur, ni aucun doute
Le monde est toujours en été
Pas de douleur et pas de déroute
C'est là que je t'emmènerai
Sur ma route
pour te réchauffer et te protéger
Sans t'étouffer
Je t'emmènerai

Mercredi 17 janvier 2007 à 13:08

A vOtre bOn cOeur

M'ssieurs, Dames

!!!

Un p'tit sOurire

...

~ Aller quOi ~

Mardi 16 janvier 2007 à 15:19

Je vOus Présente,

*POPI*

[ Le nOuveau venu dans mOn lit ]

Dimanche 14 janvier 2007 à 17:19

Il existe une fille qui n'a plus goût à la vie.
Ce petit bout de fil à parait-il perdu l'appétit.
On l'appelle Ficelle, celle au ventre noué.
Celle qui flotte dans ses jeans et qui n'aura jamais de bouée.
Elle pourrait être mannequin avec ses aires d'Arlequin
Mais elle n'a pas la force, car au dîner la sombre idiote
Ne mange qu'une feuille de salade au fond d'un ramequin.
Elle a les bras si fins, quand elle te serre elle te ligote.
D'ailleurs tous les garçons s'enfuis comme des lâches
Mais Ficelle sait qu'elle casse si elle s'attache
Et ça l'arrange même assez car la jeune fille est laissée
Que tous aient peur de l'enlacer.

Ficelle, ses mains sont liées comme celles d'un forçat
Qui fixe le calendrier.
Grain par grain, le sablier

Effrite son corps pour le plier

Mais qu'elle adore ça
Etre légère dans ses souliers, ne plus sentir son estomac !
Elle fait des nœuds pour oublier qu'elle a tendance à
Ne pas être dans son assiette et n'a pas besoin de cuisiner.
Je suis pas venu pour la bavette. N'y pense pas !
C'est moi qui invite, mets toi à table et bouffe la vie fillette !

Elle est frêle et plate, presque insensible, elle effraie les blattes
Et son ombre qui lézarde les murs est si mince qu'elle fraie le plâtre.
Elle est comme ceux de son âge.
Elle veut être invisible.
Car elle se sent dans la marge, une rature en patte de mouche toute illisible
Personne ne la voit pourtant elle est si fine es subtile.
Alors pour disparaître, elle va de crises de larmes en salles de gym.
Y'a rien de mauvais pour la santé dans la mode et le futile
Sauf quand c'est  le cœur qui est au régime.

Ficelle, ses mains sont liées comme celles d'un forçat
Qui fixe le calendrier.
Grain par grain, le sablier

Effrite son corps pour le plier

Mais qu'elle adore ça
Etre légère dans ses souliers, ne plus sentir son estomac !
Elle fait des nœuds pour oublier qu'elle a tendance à
Ne pas être dans son assiette et n'a pas besoin de cuisiner.
Je suis pas venu pour la bavette. N'y pense pas !
C'est moi qui invite, mets toi à table et bouffe la vie fillette !

Personne ne la regarde vraiment car personne ne la voit
Quand elle tente de communiquer, tous s'interrogent :
« Mais d'où vient celle voix !?  Etrange, aigre, douce.
Peut-on être aussi maigre, sans être aigri ? Plus chétive elle se désintègre ! »
Ce n'est peut être pas non plus complètement  un choix.
On rejette quelquefois ce qu'on ne digère pas.
Et l'existence entière peut paraître avariée
Quand le menu qu'elle nous propose n'est pas assez varié.
Pas assez riche, trop peu léger et pas assez de calories
Faut faire chauffer la machine et c'est de sourires donc elle se nourrit.
Ficelle, tu veux vibrer mais tu te sens lourde. Te fais pas de bile
Dis toi que la vie ne tient qu'à un fil.

Ficelle, ses mains sont liées comme celles d'un forçat
Qui fixe le calendrier.
Grain par grain, le sablier

Effrite son corps pour le plier

Mais qu'elle adore ça
Etre légère dans ses souliers, ne plus sentir son estomac !
Elle fait des nœuds pour oublier qu'elle a tendance à
Ne pas être dans son assiette et n'a pas besoin de cuisiner.
Je suis pas venu pour la bavette. N'y pense pas !
C'est moi qui invite, mets toi à table et bouffe la vie fillette !

Et bouffe la vie fillette !
Et bouffe la vie fillette !
Et bouffe la vie fillette !

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | Page suivante >>

Créer un podcast